Le Mans

Les 24 Heures du Mans vues par Sébastien Loeb

GT Tour 2014 Ledenon
0 Flares Twitter 0 Facebook 0 0 Flares ×

Après le rendez-vous de 2013, le Sébastien Loeb Racing fait ses vrais débuts aux 24 Heures du Mans cette année avec une ORECA 03R partagée par Vincent Capillaire, Jan Charouz et René Rast. Pas de Sébastien Loeb himself au volant de la LM P2, le nonuple Champion du Monde WRC prenant le rôle de team manager. De quoi avoir la vision des 24 Heures du Mans d’un pilote qui a découvert Le Mans en 2005 chez Pescarolo Sport.

Objectif.
« Il s’agit de notre première participation donc le but est d’aller au bout et d’emmagasiner le maximum d’expérience pour l’équipe. C’est justement une course où l’expérience peut faire la différence et la mission ne sera, logiquement, pas simple à accomplir. C’est une épreuve très spécifique et il faut y être préparé en conséquence. Chaque arrêt compte. Techniquement et humainement, tout doit être parfaitement réglé pour espérer réaliser une belle performance. La précision mécanique et la cohésion entre les hommes font que le défi est très intéressant. »

Mythe.
« L’Histoire et l’environnement font que Le Mans a une place à part dans le paysage du sport automobile. Mes deux participations ont été une superbe expérience avec Pescarolo Sport. J’en garde d’excellents souvenirs. C’est d’un « tout » dont je me souviens et notamment des sensations au volant. Rouler durant des heures en nocturne, se réveiller en pleine nuit pour aller en piste… Tout cela était nouveau pour moi. L’ambiance et l’atmosphère sont uniques, que ce soit la nuit justement, au petit matin… C’est quelque chose d’extraordinaire ! »

24H du Mans test day 2014Journée Test 2005.
« C’est certain, ce dimanche (5 juin 2005) avait été une journée marquante. Après le Rallye de Turquie, j’avais pris un avion pour venir faire mes tours réglementaires. Je me souviens du stress en descendant de ma Citroën WRC… puis de l’accueil extraordinaire du public sarthois. Il y avait un tel engouement, c’était fabuleux de vivre ce moment. Passer d’un extrême à l’autre en termes de pilotage et à quelques heures d’intervalle, c’était forcément très particulier. »

Team manager.
« Ce rôle est nouveau pour moi au Mans, mais l’équipe est bien rodée dans sa manière de fonctionner. Je vais tenter d’apporter mon expérience de la course, avec un point de vue un peu plus extérieur, et de soumettre quelques idées ou pistes de travail comme je peux le faire en tant que pilote. Ce sera aussi l’occasion de vivre les 24 Heures différemment et, si le timing le permet, de profiter un peu plus des à-côtés et de l’ambiance en général. »

Publicité

0 Flares Twitter 0 Facebook 0 0 Flares ×

Publicité

Sur le même sujet