Le calendrier 2016 du Tudor United SportsCar devrait être dévoilé le mois prochain par l’IMSA. Lors d’un entretien avec Sportscar365, Scott Atherton a confié qu’il ne fallait pas s’attendre à des changements majeurs. « Le but est d’avoir quelque chose de similaire à ce que nous avons fait l’an passé au niveau du timing » a déclaré le président de l’IMSA. « Je ne peux pas affirmer que nous le ferons mais tous les efforts seront faits. »
Cette année, le calendrier comprend 12 meetings. Dix ont été publiés à Road America en 2014. On devrait donc avoir un calendrier 2016 qui fera dans la continuité bien que quelques contrats soient encore dans un processus de finalisation.
« Nous avons un petit nombre de renouvellements » a confié Atherton. « Lorsque la fusion a été finalisée, nous avons soigné les renouvellements des différents contrats de sorte à ce qu’ils n’arrivent pas tous au même moment. Tous ceux avec qui nous discutons ont émis le désir de continuer. Nous avons un fort intérêt à avoir un week-end du championnat Tudor. Une fois de plus, nous restons très prudents dans la façon de garder nos équipes et nos budgets en ligne avec nos capacités. »
Quelques changements seront apportés au niveau des dates, notamment avec le report d’une semaine des 24 Heures du Mans mais aussi d’Indy 500. Il pourrait aussi y avoir quelques ajustements sur la structure de certains meetings : « Dans quelques cas, le calendrier est dicté par des circonstances extérieures. C’est aussi le cas pour la répartition des catégories. Pour Détroit, il faut faire en sorte que nos équipes GTLM puissent avoir l’occasion d’être au Mans pour la Journée Test. Nous avons réduit d’une course, avec 12 week-ends et 10 évènements pour chaque catégorie. Idéalement, on aimerait garder un mélange similaire. Cela implique que sur certains week-ends, tout le monde sera réuni, sur d’autres non. »
Quant à l’ajout de nouveaux meetings, Scott Atherton a confié que l’intérêt était grandissant mais l’objectif est bien de se concentrer sur la maîtrise des coûts : « C’est tentant parce que nous avons de l’intérêt d’autres promoteurs, d’autres marchés, d’autres lieux. Si nous ne tenions pas compte du budget et des chiffres globaux de l’événement, alors nous pourrions faire des ajouts au calendrier sans hésitation. Mais actuellement, ce n’est pas notre plan ni notre objectif. »