- Les GT4 seront équipées d’un système lumineux comme on peut le voir en GT3. La position sera indiquée pour le panneau pour un meilleur suivi des spectateurs. Dans le cas d’un drapeau jaune, la couleur du panneau passera au jaune. Idem pour le rouge. Un voyant s’allumera sur le tableau de bord afin de prévenir le pilote.
- Yann Clairay et Julien Rodrigues se partagent le volant de la BMW M3 GT4/Espace Bienvenue à Dijon. Le tandem prendra la décision du programme 2017 dans les prochains jours.
- On ne trahira aucun secret en disant qu’Alpine réfléchit plus que fortement à une version GT4 de son A110. L’idée est de rouler en 2018 en compétition.
- Revoir Anthony Beltoise sur un Championnat de France GT. Le double Champion de France FFSA GT roule pour le compte du Martinet by Alméras en compagnie d’Olivier Esteves. “Je suis content de revenir en France” nous a confié Anthony Beltoise. “Le championnat est intéressant car tout le monde roule dans une seule et même catégorie. Les autos sont moins puissantes que les GT3 mais le plaisir de pilotage est bien présent. Je crois sincèrement que la saison va être belle.”
- Champion Asian Le Mans Series, Niki Leutwiler passe du LM P2 au GT4, ce qui n’est pas sans le ravir : “Il y a un sens pour moi de rouler sur une Porsche Cayman GT4 Clubsport MR depuis l’ouverture de mon Centre Porsche en Suisse. Le budget est abordable et je peux organiser des évènements en marge du championnat. Cela fait 15 ans que je n’avais plus roulé en GT. Je prends beaucoup de plaisir. J’ai rencontré Tony Pereira (TFT) lorsque je roulais pour Pegasus Racing en 2014. Le LM P2 est devenu trop onéreux. Pour être dans le coup, il faut beaucoup d’essais, ce qui augmente nettement le coût d’une saison.” Il n’est pas totalement exclu de voir Niki Leutwiler au départ des 24 Heures du Mans en juin prochain sur une Porsche.
- Présent à Dijon en spectateur averti, Romain Monti se verrait bien rouler en FFSA GT sur une Maserati, marque avec laquelle il a remporté le Trofeo.
- Plusieurs équipes GT4 vont prendre la direction de Nogaro la semaine prochaine pour une nouvelle séance d’essais. Le tracé gersois recevra le premier meeting du championnat à l’occasion des traditionnelles Coupes de Pâques.
- Dijon a un air de rentrée des classes avec des concurrents ravis de débuter l’aventure GT4. Personne ne parle de BOP, de Gold ou de Silver. En revanche, le paddock entier est unanime pour la réussite du championnat : maîtrise des coûts. “Si on doit rajouter chaque année des évolutions, on va retomber dans les mêmes travers que le GT3″ nous a confié un team manager. “Il faut absolument s’assurer de ne pas céder à la pression des constructeurs sous peine de voir les coûts s’envoler. Venir sur un meeting avec une voiture de course sur un camion plateau n’est plus dans l’air du temps mais cela a du sens en GT4. Le spectacle doit être sur la piste.”